J'ai littéralement bondi de joie en apprenant en ce début d'après-midi, qu' ESTHER DUFLO venait d'obtenir avec son compère, Abhijit BANERJEE et leur collègue Michaël KREMER, le prix Nobel d'Economie 2019 pour leurs travaux sur la lutte contre la pauvreté, dont la méthode est aujourd'hui utilisée par toutes les grandes institutions qui partagent cet idéal.
C'est bien le seul prix Nobel d'Economie que j'ai lu de ma vie - vous en trouverez la trace ici -.
dont j'ai particulièrement apprécié l'objectif tout autant que le pragmatisme.
Je dois reconnaître que j'ai été charmée, par la personnalité de cette alors très jeune-femme, née en 1972, première titulaire de la chaire au Collège de France "Savoirs contre pauvreté", dont j'avais passionnément suivi les cours, derrière mon ordinateur en 2009.
Un idéal féminin, un peu différent de celui qui nous est proposé généralement ad nauseam...
En recherchant l'article écrit sur leur ouvrage "Repenser la pauvreté", je me suis aperçue que j'avais écrit à son sujet à peu près la même chose il y a quelques années... Un enthousiasme têtu en quelque sorte....
Vous trouverez également ici l'article très fouillé, que Dominique avait consacré à "Repenser la pauvreté".
Vous trouverez également ici l'article très fouillé, que Dominique avait consacré à "Repenser la pauvreté".
je partage ton enthousiasme son livre que j'ai lu il y a déjà 7 ans m'avait à la fois époustouflée par le travail accompli, rempli d'admiration pour un travail de cette sorte
RépondreSupprimerj'ai fait une chronique à l'époque sur mon blog car comme toi je ne lis pas souvent d'économie mais là j'avait été comblée j'ai vu que le livre est en poche aujourd'hui
J'étais certaine que ce serait le cas, ayant déjà partagé notre enthousiasme au moment de la lecture de ce livre !
SupprimerJe viens de lire le billet de Dominique et je vois que vous partagez la même joie de voir ce prix Nobel.
RépondreSupprimerAbsolument Aifelle, nous sommes des groupies de longue date !
SupprimerVos deux billets à Dominique et toi m'ont fait commander le ivre illico!
RépondreSupprimerUn modèle féminin à suivre de près, tu as raison!
merci, merci les femmes.
Et une future adepte de plus ! Hop, je suis ravie. Bonne lecture, Colo !
SupprimerJe suis allée lire ton billet, Annie, et celui de Dominique. J'ai ajouté ce livre à ma liste. Bravo à ces économistes parmi lesquels une femme dont je retiendrai le nom à présent.
RépondreSupprimerje me suis permis de mettre un lien chez moi vers ton article, plus on sera nombreux à lire ce livre et mieux ce sera !!
RépondreSupprimerMerci Dominique, je vais faire de même pour ton article. J'espère qu'ainsi nous emporterons l'enthousiasme.
SupprimerDeux voix pour porter ce livre, de voix convaincantes. J'avoue que je n'ai jamais lu de Nobel d'économie. J'avoue même que je ne connaissais pas Esther Duflo, heureusement qu'il y a vos billets !
RépondreSupprimerJe vais me répéter, mais à part celui-là, moi non plus ! Il est d'une lecture très facile, car les auteurs écrivent de la manière la plus simple possible. Tu trouves également sur le net de nombreuses vidéos concernant Esther Duflo. En l'entendant, tu comprendras tout de suite que c'est une personne qui ne s'encombre pas de fioritures. Bonne fin de semaine, Maryline.
SupprimerA well-deserved honor!
RépondreSupprimerI think so, too, Sallie !
SupprimerOui, c'est une belle nouvelle ! Comme je l'ai écrit sur le blog de Dominique, c'est une nouvelle qui redonne de l'espoir. Esther Duflo est une femme exceptionnelle, qu'il est bon de lire et d'écouter de temps en temps...
RépondreSupprimerBonne journée !
Je la trouve exceptionnelle à plus d'un titre également. J'admire son intelligence et sa culture, l'étendue de ses connaissances, mais aussi son pragmatisme et sa modestie : c'est une chose si rare ! Bonne journée également, très pluvieuse ici, mais la terre en a tellement besoin.
SupprimerJ'aurais juré avoir laissé un commentaire... Bref, depuis j'ai entendu parler de l'auteur sur France Inter hier samedi de 9 h à 9 h 30, avec des avis divers
RépondreSupprimerkeisha qui passe sous anonyme, au cas où
Je n'ai pas trouvé de traces de ton commentaire précédent, Keisha. Encore un mystère de l'informatique je suppose. Quant on l'écoute on comprend qu'une personne avec si peu d'égo puisse agacer ceux qui en ont un peu trop... Surtout si elle obtient un prix Nobel à 47 ans. Mais je suis méchante probablement...
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